Le journal que vous avez entre les mains est le meilleur. Son sens de l’innovation est unique sur le marché. Il est le fruit parfait d’une expérience exceptionnelle et d’un savoir-faire qui a fait ses preuves, conduit avec la volonté de toujours davantage répondre à vos attentes …
Stop ! Vous l’aurez compris, ce langage ne vous inspire pas vraiment confiance. Nos affirmations pourraient-elles ne pas vous convaincre ? C’est, bien sûr, là tout le débat porté par la confrontation entre « faits » et « commentaires ».
C’est aussi, tout un chacun peut le constater, la démonstration que le lecteur n’est point l’oie blanche que certains supposent, mais bien un individu capable de se faire son opinion. Surtout dans un cadre professionnel et sur du texte comme ici. Moins sur des images, il est vrai. D’où le fameux « temps de cerveau disponible » télévisuel, mais là est un autre débat.
Pourquoi vous interpeller de la sorte ? Parce que le « Journal des fluides » est un média comme les autres, c’est à dire un intermédiaire actif - pour ne pas dire interactif -, un transmetteur d’information.
Sa vocation et sa mission consistent ainsi à collecter, décrypter, sélectionner, ordonner et présenter les informations utiles à ses lecteurs.
Dans notre domaine, nous sommes rapidement confrontés à une réalité bien
palpable : discours technique et/ou commercial ? Subtile nuance entre ce que l’on appelle l’information (utile pour celui qui la reçoit) et la communication (utile pour celui qui l’émet). Notre position d’intermédiaire actif nous conduit tout naturellement à relayer les deux, autant nous rendre le plus utile.
L’important est simplement que cela soit clair pour le lecteur. Pas de parti pris, question de crédibilité. C’est là, peut-être, quand même un peu l’originalité du journal que vous avez entre les mains…
LE JOURNAL DES FLUIDES SEPTEMBRE –OCTOBRE 2012 N°51