C’est le 20 octobre que Farex Group, acteur international dans la distribution de robinetterie industrielle, a ouvert sa nouvelle unité de production en Chine, à Qing Pu, dans la province de Shanghai. Cette inauguration s’est effectuée en présence des équipes de la filiale de fabrication, des partenaires et sous-traitants, des membres du groupe et notamment de France, mais également d’officiels chinois, de représentants des institutions françaises en Chine, ainsi que de la presse chinoise. Sur une surface de près de 4000 m² (pour moitié réservée à la production et pour moitié aux activités de distribution), l’usine de Qing Pu regroupera 50 personnes est dirigée par Benoît Legath, un français présent en Chine depuis 2 ans pour le groupe. L’unité de production est une unité d’assemblage de produits – tous conçus et développés en France sur le site de Montagny (69), le contrôle et le montage étant effectués chez Farex Shanghai fluid control. D’un montant d’investissement d’1 M€, cette unité, dont l’objectif de production est de 50 000 pièces par an, sera dédiée à la fabrication de vannes guillotines, clapets à battant, clapets à boules, tous commercialisés, sous la marque Tecofi en Chine et en Asie du Sud- Est. Cette zone géographique représente aujourd’hui 10 % du CA du groupe et les ambitions de développement y sont élevées dans les années à venir. Il est envisageable, également, que ces produits conçus selon les standards européens et faisant l’objet de contrôle rigoureux, puissent être commercialisés, sur d’autres zones géographiques. Comme le souligne Philippe Trémeau, PDG de Farex Group : « le destin de notre groupe est, depuis 25 ans déjà, intimement lié à l’Asie. À l’origine, en effet, le métier de Farex était le conseil et la représentation d’industriels européens en Asie. Au fil de son histoire, le groupe a peu à peu étendu ses activités avec notamment en 2008, l’ouverture de notre filiale de distribution à Shanghai pour proposer les produits fabriqués par le groupe sous la marque Tecofi sur les marchés asiatiques. Il était donc naturel de poursuivre notre expansion sur cette partie de la planète en rapprochant une partie de notre production des marchés locaux et envisager un développement sur ces territoires à fort potentiel de développement ».